Menu principal :
Consentement
J'aimerais tellement te dire...
Mais j'ai peur de te voir sourire
Et je reste muette
Devant ton corps d'allumette
Je souffre pourtant à mourir
Contre le feu de ton plaisir
Dis-
Lorsque l'argent aveugle et triche
Alors qu'elle est si fluette
Cette vie de marionnette
Perdue par les voix du haschich
Qui nous donne des yeux de biche
Douce parole du satyre
Eperdue parmi tous ces rires
Pleurant le destin de quête
Bas comme la pâquerette
Dans un champ où tous les martyres
Sortent les griffes des soupirs
Veux-
Est bâtie sur une corniche
Où chacune des arêtes
Est prête à couper les têtes
De ceux qui vivent de défriche
Et qui piétinent mes péniches ?
J'amerais vraiment te le dire
Mais je n'ose oublier le pire
Le silence :
Ton silence !