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Le silence de l'indifférence
Le sonnet doit chanter l'espoir, le désespoir.
Alors, pourquoi veux-
Mes sentiments sont morts ! Mon coeur à la dérive
Ne s'emballera plus, en pensant te revoir.
J'ai déchiré ta vie au mur de mon savoir,
Mais qu'as-
Nous sommes deux parents et quoi qu'il nous arrive
Tu resteras le seul qui créa l'abattoir.
S'il est vrai que ma voix a perdu sa tendresse
Et mes lèvres son rire à ton oeil qui m'agresse,
Je garde tout de même un souvenir heureux
De certains jours passés aux côtés d'un poète.
Ainsi passe le temps sur nos mots amoureux,
Tu n'es plus rien pour moi qu'une chanson muette !