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Son sourire
Au fond de son regard j'embrassais le soleil.
L'optimisme vainqueur régnait en permanence,
Se déjouant des maux et de l'impertinence
Dont la vie, égarée, égrenait son sommeil.
J'aurais voulu courir, repeindre de vermeil
Les zones sans éclat... dévoilant la romance,
L'infernal tourbillon d'un été qui commence.
Je vivais cette scène au décor sans pareil !
Pourquoi le désespoir ? L'absolue infamie ?
L'absence sans retour, invincible ennemie,
Crève mon cœur détruit, étouffant le matin !
Cruelle destinée, ivresse passagère,
Je souffre de ce mal où la raison s'éteint...
M'offriras-