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Elles fondent petit à petit les promesses...
Le temps a décidé d'effacer le sanglot,
Les phrases et les pas d'un monstrueux complot.
Pour mon âme il n'est plus que l'ombre de mes fesses !
L'amour physique est mort... je donne mes caresses
Au jardin renaissant des cendres de l'îlot.
Le marin est peiné... guette par le hublot
La terre féconde et ses promises déesses.
Le soleil au zénith brûle ses vains espoirs :
Nul retour n’est possible au cœur des encensoirs.
L'oubli sera le maître et l'avenir sa chance.
Au seuil d'un renouveau -
Courant, l'esprit léger, je soumets à l'urgence
L'exaucement naïf de mes vœux indiscrets.